Non seulement on cause de livres biens mais on en vend aussi. Et comme on vend plutôt bien d’abord les livres biens, on a tendance à penser que c’est peut-être bien parce qu’on en cause plutôt bien. On ne prétendra nullement qu’on est quelqu’un de bien, bien sûr – même si tout un chacun aura toujours plutôt tendance à s’accorder ce crédit-là. On affirmera par contre haut et fort que ce n’est pas parce que d’autres livres se vendent mieux ailleurs qu’ils sont meilleurs que nos livres biens à nous. Bref, tout va bien…
- Délai de grâce de Adelheid Duvanel (on frise les 250…)
- Anna & moi de Adelheid Duvanel
- Plantes vagabondes d’Emilie Vast
- I’m every woman de Liv Stromquist
- Essai sur le fou de champignons de Peter Handke
- Passer quoi qu’il en coûte de George Didi-Huberman & Niki Giannari
- Le Lasso & autres écrits de Jaime de Angulo
- Comprendre la photographie de John Berger
- 4321 de Paul Auster
- Seiobo est descendue sur terre Laszlo Krazsnahorkai
- Les Rigoles de Brecht Evens
- Bas la place y’a personne de Dolores Prato
- L’Enfant perdue de Elena Ferrante
- La joie d’apprendre de Élisée Reclus & Pierre Kropotkine
- La vie de Didier Fassin
- La petite ville de Éric Chauvier
- Drach de Szczepan Twardoch ex aequo avec (smiley qui se bidonne grave!) Sorcières de Mona Chollet
- Le fleuve sans rives de Juan José Saer
- Le Grand Cercle de Conrad Aiken
- Stratégie pour deux jambons de Raymond Cousse
*L’illustration de cette chronique est au choix oxymorique ou hors-sujet