Sur le bandeau entourant « Le peigne-jaune », est indiqué « Lisez Léal ». Une évidence marketing, me direz-vous? Peut-être. Mais alors bien utile. Car l’évidence rappelle que Léal, c’est lisible. N’en déplaise au premier regard inquiet. Ou aux grincheux.
On va faire court donc. Il y est question d’un médecin trop gentil, d’un chien nommé Sarko, de son maître très con, d’un couple qui bat de l’aile, d’amis qui jouent les entremetteurs. C’est brillant. C’est drôle. Et tout cela sur une page passée au peigne.
LISEZ LEAL!
Frédéric Léal, Le peigne-jaune, 2011, Les éditions de l’Attente.