Ça parle de la douleur d’être, de la fugacité des plaisirs, de ces jours où la peur pourrait nous submerger. Ça parle d’épidermes qui se touchent, s’épanchent dans des désirs dont ils savent l’illusoire. Ça parle d’inextinguibles souffrances. Ça parle de nos égarements. Ça parle d’épiphanies. Et ça en parle si bien que ça nous coupe toute herbe sous le pied.
tout cela toutefois est d’une grande beauté.
Christophe Manon & Frédéric D. Oberland, Jours redoutables, 2017, Les inaperçus.