C’est pas parce qu’on a été obligé de laisser place nette à un virus pendant quelques semaines qu’on a pas vendu des tombereaux de bons livres! Aussi incongru que cela paraisse – voire, on s’en sent même un peu coupable – cette année ne fut pas du tout mauvaise. Un immense merci à vous tous! Plus que jamais, vous nous avez prouvé que non seulement la curiosité existe encore mais aussi qu’elle peut être un modèle économique…
- Helmut Eisendle, La mort par les plantes, Vies Parallèles, trad. Catherine Fagnot
- Hans Faverey, Poésies, Vies Parallèles, trad. Kim Andringa, Erik Lindner, Éric Suchère
- Andreas Malm, Comment saboter un pipeline, La Fabrique, trad. Étienne Dobenesque
- Vincenzo Cerami, Une présence amoureuse, Vies Parallèles, trad. Sandro Belmonte
- Violette Pouillard, Histoire des zoos par les animaux, Champ Vallon
- Vinciane Despret, Habiter en oiseau, Actes Sud
- Emmanuel Carrère, Yoga, P.O.L.
- Jacques Rancière, Le temps du paysage, La Fabrique
- Marcelle Delpastre, Le rosier pourpre, Plein Chant
- Abby Warburg, L’Atlas Mnémosyne, L’écarquillé, trad. Sacha Zilberfarb
- Peter Kurzeck, Un hiver de neige, Diaphanes, trad. Cécile Wajsbrot
- Lucie Rico, Le chant du poulet sous vide, P.O.L.
- Eugène Savitzkaya, Au pays des poules aux œufs d’or, Minuit
- Richard Krawiec, Paria, Tusitala, trad. Charles Recoursé
- Laurent Mauvignier, Histoires de la nuit, Minuit
- Gabriel Gauthier, Speed, Vies Parallèles
- Anne Serre, Au cœur d’un été tout en or, Mercure de France
- D.H Lawrence, La femme qui s’enfuit, Le Bruit du temps, trad. Marc Amfreville
- Peter Nadas, La Bible, Phebus, trad. Marc Martin
- Florence Burgat, Qu’est-ce qu’une plante?, Le Seuil